Les problèmes et les limites de la traduction des termes soufis

Auteurs-es

  • Said BOUMAZZOURH Institut universitaire des études africaines, euro-méditerranéennes et ibéro-américaines. Université Mohamed V, Rabat.
  • Mohammed NABIH Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Saïs-Fès. Université Sidi Mohamed Ben Abdellah.

DOI :

https://doi.org/10.34874/PRSM.archetype-vol1iss1.38509

Mots-clés :

traduction, langue source, langue cible, terme soufi, mysticisme

Résumé

Cette étude est une réflexion sur les problèmes et les limites de la traduction des termes soufis.
Du moment où l’opération traduisante concerne des termes marqués par une grande richesse sémantique, on serait enclin à avancer que l’importance des problèmes, au-delà du simple changement de code linguistique, sera renforcée tant le terme à traduire est dépendant de la culture, de l’idéologie religieuse et des schémas de pensée présents au sein du monde arabo-musulman. Traduire le terme soufi est donc une tâche particulièrement délicate qui exige, outre la maitrise de la langue-culture source et de la langue-culture cible, une attention particulière aux exigences contextuelles autour de leurs interprétations.

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Publié-e

02-03-2023

Comment citer

BOUMAZZOURH, S., & NABIH, M. (2023). Les problèmes et les limites de la traduction des termes soufis. L’Archétype, 1(1), 36–47. https://doi.org/10.34874/PRSM.archetype-vol1iss1.38509