Etude des dégâts qualitatifs et quantitatifs dus aux Bruches sur les légumineuses au Maroc

Auteurs-es

  • I. EL-MIZIANI 1University Hassan 1, Faculty of Sciences and Techniques, Laboratory of Applied Chemistry and Environment, 26000, Settat, Morocco.
  • S. LHALOUI National Instituteof Agronomic Research, Regional Center of Settat, Laboratory of Entomology, 26000, Settat, Morocco.
  • M. EL BOUHSSINI International Center for Agricultural Research in the Dry Areas, Rabat, Morocco
  • R. DAHAN National Instituteof Agronomic Research, Regional Center of Settat, Laboratory of Entomology, 26000, Settat, Morocco. D
  • A. LAMIRI University Hassan 1, Faculty of Sciences and Techniques, Laboratory of Applied Chemistry and Environment, 26000, Settat, Morocco.
  • F. GABOUN National Instituteof Agronomic Research, Regional Center of Settat, Laboratory of Entomology, 26000, Settat, Morocco.
  • F. ABBAD ANDALOUSSI National Instituteof Agronomic Research, Regional Center of Settat, Laboratory of Entomology, 26000, Settat, Morocco.

Mots-clés :

Post récolte, Légumineuses, Bruches, pertes pondérales, pouvoir germinatif.

Résumé

Les pertes qualitatives et quantitatives des légumineuses en post-récoltes demeurent un important souci des agriculteurs au Maroc. Les ravageurs de stockage sont l’un des facteurs les plus destructifs des stocks de légumineuses. Pour ce fait, le présent travail porte sur l’identification des différentes espèces d’insectes attaquant les légumineuses stockées au Maroc, et l’évaluation de leurs effets nuisibles sur les pertes en qualité, quantité et faculté germinative des grains. Les résultats mettent en évidence la dominance des coléoptères de la famille Bruchidae, qui attaquent plus de la moitié des quantités stockées surtout pour les cultures de fève et féverole. Les pertes pondérales et le pouvoir germinatif ont aussi été  étudiés. Les résultats ont montré une perte en poids des grains bruchés pouvant aller jusqu’à 34%. Le pouvoir germinatif a été négativement affecté; il a oscillé entre 75 et 85% selon le nombre d’opercule par grain.

 

 

 

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Publié-e

27-09-2016

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