L’environnement entrepreneurial au Maroc : cas de la région de Nador et d’AL Hoceima
DOI :
https://doi.org/10.34874/IMIST.PRSM/reinnova-v2i6.13103Mots-clés :
ENTREPRENEURITARésumé
Depuis des années, le processus de création d’entreprises par les émigrés au Maroc n’a cessé de se développer. Les entreprises créées ont été de plus en plus un signe d’attachement de personnes expatriées à leur pays d’origine.
Ainsi, la décision d’entreprendre par ces émigrés apparaît, se développe ou disparaît sous l’influence et l’action de plus en plus déterminante des centres de décisions externes, c’est à dire l’ensemble des forces et des contraintes externes qui ne sont pas créées par l’entreprise, mais qui influencent son activité.
Jusqu’à une certaine période, l’entreprise créée par les Marocains Résidants à l’Etranger (MRE) d’origine Rif a été considérée comme un centre de décision autonome dont l’influence du dirigeant est déterminante, mais cette autonomie est de plus en plus contestée et limitée et les décisions ne sont plus uniquement le fait du chef d’entreprise.
Au Maroc, le contexte de création d’entreprise est parsemé de difficultés afférentes à différents facteurs auxquels l’entrepreneur émigré se trouve confronté : difficultés administratives, techniques, financières, commerciales…