« L’innovation : Levier socio-économique pour un développement économique, social et durable »

09-10-2024

                               APPEL A PUBLICATION : Huitième numéro Décembre 2024


« L’innovation : Levier socio-économique pour un développement économique, social et durable »

 

JOURNAL OF SOCIAL SCIENCES AND ORGANIZATION MANAGEMENT (JOSSOM) lance un appel à contributions pour son sixième numéro. Et nous encourageons les chercheurs à se référer à la ligne éditoriale pour proposer spontanément leurs articles en langues française et anglaise.
JOSSOM est une revue académique initiée par un groupe de chercheurs dans le but de valoriser la recherche scientifique marocaine et diffuser les résultats de la recherche dans le domaine des sciences sociales et Management des organisations.
En fait, la revue JOURNAL OF SOCIAL SCIENCES AND ORGANIZATION
MANAGEMENT (JOSSOM) couvre l’ensemble des champs des sciences sociales sans n’en privilégier aucun contribuant ainsi à enrichir la réflexion sur l’action sociale, et le management des organisations. De même, toutes les démarches scientifiques sont acceptées pourvu qu’elles soient rigoureuses.
Sur ce la revue JOSSOM envisage lancer son sixième appel de communication dédié à tous les chercheurs qu’il soit professeur ou doctorant en vue de publier leurs contributions sous forme des articles scientifiques.

ARGUMENTAIRE

Dans un contexte mondial caractérisé par des défis socio-économiques complexes tels que le changement climatique, les inégalités croissantes et les pressions démographiques, l'innovation émerge comme un catalyseur crucial pour stimuler un développement durable et équilibré. Cette perspective affinée met en lumière l'importance de l'innovation non seulement comme moteur de croissance économique, mais également comme moyen de répondre aux besoins sociaux urgents et de préserver notre environnement pour les générations futures.
Création de valeur économique :
L'innovation est un vecteur clé de création de richesse économique. Les nouvelles idées, technologies et processus créent de nouveaux marchés, stimulent la concurrence et favorisent la croissance économique.

Amélioration de la qualité de vie :

L'innovation ne se limite pas aux produits et aux services, mais englobe également des solutions novatrices pour résoudre les défis sociaux. Des avancées dans des domaines tels que la santé, l'éducation, et les infrastructures améliorent la qualité de vie des individus et des communautés.
Par exemple, les innovations dans le domaine de la santé, telles que les nouvelles thérapies médicales ou les dispositifs médicaux avancés, contribuent à prolonger l'espérance de vie et à réduire les coûts des soins de santé.

Promotion du développement durable :

L'innovation est un moteur essentiel du développement durable, en permettant la création de solutions plus efficaces et respectueuses de l'environnement.

Renforcement de l'inclusion sociale :

L'innovation peut également jouer un rôle crucial dans la réduction des inégalités sociales en favorisant l'accès à des opportunités économiques et sociales pour tous.

Stimulation de la créativité et de l'esprit d'entreprise :

En encourageant la créativité et l'esprit d'entreprise, l'innovation favorise la diversité et l'ouverture à de nouvelles idées et perspectives.
En effet, Les écosystèmes d'innovation, tels que les incubateurs de startups et les clusters technologiques, créent un environnement propice à l'émergence de nouvelles entreprises et à la collaboration entre les acteurs du secteur public et privé.

Cependant, pour maximiser l'impact de l'innovation et orienter les politiques et les investissements de manière stratégique, il est impératif de disposer d'outils analytiques robustes. Les modèles économétriques se positionnent comme des instruments indispensables dans cette démarche, offrant une approche quantitative et rigoureuse pour évaluer les implications socio-économiques des innovations et des politiques connexes. Dans cette optique, explorons le rôle des modèles économétriques comme outil de compréhension et d'action dans la promotion d'un développement économique, social et durable.

Ce numéro a pour but d’étudier la contribution de l’innovation au développement des économies et des sociétés et de traiter les outils quantitatifs et qualitatifs déployées pour décider sur les stratégies les plus efficaces et évaluer leurs pertinences.

Tel est l'objectif de cette édition qui se veut l'occasion de partager les dernières recherches dans le domaine mais aussi de favoriser les échanges entre universitaires et acteurs socio-économiques.
Sans vouloir dresser une liste exhaustive, les articles soumissionnés peuvent s’inscrire dans la liste des axes suivants :
- Analyse des politiques d'innovation
- Impact de l'innovation sur l'emploi et les compétences
- Innovation sociale et développement communautaire
- Durabilité environnementale et innovation verte
- Innovation et inclusion financière
- Évaluation de l'impact socio-économique des clusters d'innovation
- L’innovation, le marketing et l’entrepreneuriat social
- L’innovation en termes d’appropriation collective de la valeur
- L’innovation et culture
- L’innovation sociale et l’économie sociale et solidaire
- L’innovation pédagogique


COMITE EDITORIAL ET DE DIRECTION

Directeur de la revue

Hicham BELMAATI, Professeur-chercheur en sciences économiques et gestion, Institut National de l’Action Sociale. Rue Hariri, B.P. 1168 ،Tanger Maroc

Email : hicham.belmaati@inas.social.gov.ma


Directeur de la publication

Mohamed BELAFHAILI, Professeur-chercheur en sciences économiques et gestion, Université Hassan II de Casablanca, Maroc
Email : m.belafhaili@enset-media.ac.ma


COMITE SCIENTIFIQUE
ABDELLATIF CHAKOR, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
ABDELLAH ECHAOUI, Professeur-Chercheur à Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
ADIL BOULAHOUAL, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
ADIL ELMARHOUM, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Agdal de Rabat, Maroc

AMINA AOMARI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
AMINA SABER, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Economiques Chouaib Doukkali, El-Jadida, Maroc
AMINE DAFIR,Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Mohammadia, Maroc
BOUCHRA BENNANI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Ain Sebaa, Casablanca, Université Hassan II, Maroc
BOUCHRA TAOUFIK, Maitre de conférences, à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
CHAKIB NEJJARI, Professeur-Chercheur à l’Université Mohammed VI Des Sciences De La Santé de Casablanca, Maroc
FATIHA REGRAGUI, Professeur-Chercheur à L’Ecole Scientifique Et Technique De Meknès, Université Moulay Ismail, Maroc
FADWA NID ABDELLAH, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
HAFIDA NIA, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales de Mohammadia, Maroc
HAMID SAMAKI, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
HASNAA GABER, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
HASSAN GHAZAL, Professeur-Chercheur au CNRST de RABAT, Maroc
HICHAM ATTOUCH, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
KHALIFA MANSOURI, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II, Casablanca, Maroc
HICHAM BELMAATI, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
LATIFA LANKAOUI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
LOTFI BENAZZOU, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion de Kenitra, Maroc
LOTFI LEMRAJNI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
MAJDA CHAHIR, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
MOHAMED ACHRAF NAFZAOUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra, Maroc
MOHAMED ASSILA, Maitre de conférences à l’Ecole Supérieure Des Sciences Sociales Appliquées à Cologne, Allemagne
MOHAMED BELAFHAILI, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
MOHAMED BOUASSABAH, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra, Maroc
MOHAMED HAICHAR, Professeur-Chercheur à l’Ecole Alhassania Des Travaux Publics de Casablanca, Maroc
MOHAMMED OULED ALLA, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
MOHAMED SABER HASSAINATE, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Agdal de Rabat, Maroc

MUSTAPHA JAMMOUKH, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
NAJIB ALIDRISSI, Professeur-Chercheur à l’Université Mohammed VI Des Sciences De La Santé de Casablanca, Maroc
RACHID HASNAOUI, Professeur-Chercheur à l’Université Ibn Tofail de Kénitra, Maroc
RIM BENABDESSLAM, Professeur-Chercheur à l’Université Paul Valéry, Montpellier III, France
SAID HINTI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
SIHAM JABRAOUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
SOUAD ABOUDKHIL, Professeur-Chercheur à L’Université Hassan II, Casablanca, Maroc
TOURIA HOUSSAM, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
TAOUFIK BENKARAACHE, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
YASSINE REGRAGUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca, Maroc
ZAKARIA FIRANO, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Agdal de Rabat, Maroc
ZINEB OUAZZANI TOUHAMI, Professeur-Chercheur à l’Institut Supérieur des Professions Infirmières et Techniques de Santé, Rabat, Maroc


NORMES DE REDACTION

Avant de soumettre sa recherche à la revue JOSSOM, l’auteur(e) doit attester que sa proposition d’article n’a pas été publiée par ailleurs et ne fait pas simultanément l’objet d’une soumission à une autre revue.
Tous les articles sont soumis à l’évaluation par deux examinateurs, le comité scientifique et de lecture prend la décision finale d'acceptation, de modification ou de rejet. L’auteur reçoit une lettre motivée et ce, un mois maximum, après la soumission de son article à JOSSOM.

Tous les articles doivent être soumis en format Word via la plateforme de la revue ( https://revues.imist.ma/index.php?journal=JOSSOM) en créant un compte auteur et envoyés aussi par mail à l’adresse suivantes:
inter.jossom@gmail.com

Les articles devront être envoyés sous format Word. Elles peuvent être rédigées en langue anglaise (la Template de la version anglaise est sur le lien de la revue).
Les articles soumis doivent respecter les consignes du document Template disponible sur le site de la revue et les directives suivantes :
 La première page de garde doit comporter le titre de l'article, le nom de l'auteur, sa fonction et son affiliation, ses coordonnées complètes (adresse professionnelle et personnelle, téléphone, télécopie, adresse électronique). Cette première page doit comporter aussi le résumé de l'article les key words. Les résumés doivent être clairs, précis, bien écrits et donner au lecteur l'envie de lire l'article
 Le texte proprement dit commencera en page 2

- Corps du texte : en style normal, aligné, sans retrait de paragraphe, sans césure, sans puce, ni numéro, Times New Roman / caractère 12
- Interligne 1,5

- Marges 2.5 cm pour chaque côté
- En tête et pied de page : 1,1 cm

- Titres : Times New Roman, caractère 12, gras

- Les tableaux et figures sont intégrés dans le texte, numérotés et présentés chacun avec un titre.
- Le document (texte, tableaux, figures, annexes et références bibliographiques incluses), fait 15 pages maximum.
- Les tableaux, graphiques, schémas et cartes mesurent au maximum 12 cm en largeur : Leur emplacement dans le texte est précisé, ils sont présentés, ainsi que les formules mathématiques, sous Word, éventuellement au format image, et ne sont pas scannés.
- Aucune note de bas de page ne doit figurer dans le texte.

- Dans le texte, les citations de référence apparaîtront entre parenthèses avec le nom de l’auteur et la date de parution, [ex : (Conso. P., 2000)]


 À la suite de l'article, apparaitront successivement :
- Les éventuelles annexes (méthodologiques ou autres) désignées par A1, A2, A3, etc.
- Les références bibliographiques. Celles-ci suivront les nouvelles normes académiques de la recherche. Ces références d’auteurs sont précisées des plus récentes aux plus anciennes, avec les pages des citations.
Modèle à suivre en bibliographie
• Livre, Auteur, A. A. (Année). Titre du livre (xe éd., vol. x). Ville, Pays (province pour Canada; État pour É.-E.) : Maison d’édition
• Article, Auteur, A. A., Auteur, B. B. et Auteur, C. C. (Année). Titre de
l’article. Titre du périodique, volume (numéro), page de début-page de la fin.

• Mémoire et thèse, Auteur, A. (Année). Titre de la thèse (Mention du grade). Université, Lieu
• Page spécifique d’un site Web, Auteur, A. (Date). Titre du document [Format, si nécessaire]. Repéré à http://URLcomple

 

CALENDRIER DE SOUMISSION


 09 Novembre 2024 : Délai limite pour la réception des textes intégraux des publications
 30 Novembre 2023 : Retour des rapporteurs, réponse aux auteurs et sélection des articles à publier
 10 Décembre 2023 : Date limite pour la réception des articles comportant des modifications
 15 Décembre2023 : Publication des articles retenus