Le projet Chocolat de l’association Libanaise pour l’épilepsie
Résumé
Il est triste de constater que les gens avec besoins éducatifs spéciaux (BES) au Liban sont stigmatisés, ils ont moins de chances d’être éduqués et donc n’ont pas de chances équitables pour l’emploi. Parmi ceux-ci, les personnes épileptiques sont les moins à obtenir un traitement équitable. Étonnamment, le gouvernement libanais a eu des données statistiques indiquant le pourcentage de personnes BES. Toutefois, ni le ministère de l’Éducation, ni le ministère des Affaires sociales a jusqu’ici parlé de cette catégorie dans leur agenda pour les plans futurs. Cela a conduit les militants à créer des ONG, et l’Association pour les soins des patients épileptiques au Liban (ECAL) n’est pas différente. Une fois établie, l’ECAL a étudié la taille et la situation économique de la population épileptique au Liban, a étudié leurs besoins, et établir des programmes appropriés à cet effet. ECAL a découvert que pour soutenir les personnes épileptiques, l’ECAL a dû lancer des projets générateurs de revenus et a constaté que le projet de chocolat servirait beaucoup d’objectifs.
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PDFISSN Print : 2550-4215