Le financement du secteur de l’artisanat via le contrat financier Salam : cas de la ville de Marrakech
DOI :
https://doi.org/10.48374/IMIST.PRSM/ame-v2i4.23412Mots-clés :
Contrat Salam, Banques Participatives, Financement, Entreprises ArtisanalesRésumé
Dans un contexte marqué par la marginalisation du secteur artisanal par le système bancaire classique et l’avènement récent des banques participatives au Maroc, ce travail cherche à détecter les attentes des entreprises artisanales vis-à-vis de l’instrument financier islamique Salam en matière du financement des besoins du secteur.
La fragilité d’un tel secteur et son caractère informel, dans la plupart des cas, peuvent être surmontés financièrement par ces nouvelles banques, d’où la nécessité de découvrir l’utilité du contrat Salam pour l’artisanat.
En se basant sur l’analyse factorielle de correspondances multiples, il s’est avéré que le contrat Salam répond, à la fois, aux besoins de commercialisation et à ceux correspondant au financement pour l’échantillon sélectionné au sein de la ville de Marrakech. La majeure partie des interviewés avance l’adaptabilité de ce contrat avec les besoins de leur activité artisanale.
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